Cet enseignement a pour objectif de sensibiliser les étudiants aux enjeux, contenus et actions du développement durable. Il s’agit de leur faire prendre conscience qu’il est possible d’agir pour la préservation de l’environnement, à travers leur formation, ainsi qu’à leur échelle, sur leur consommation, leurs activités quotidiennes et leur société. Lors de sa formation universitaire, quelle que soit sa spécialité et son ambition pour ses futures orientations professionnelles, l’étudiant aura l’occasion d’apprendre et d’exprimer sa connaissance sur le développement durable.

Le développement durable est actuellement une des réponses qui émerge dans le monde entier, pour faire face à la conjonction actuelle des grands enjeux écologiques, économiques et sociaux du monde.

C’est une matière indispensable pour les agronomes, il s’agit de la phytotechnie générale là où l’étudiant (future agronome dans le domaine végétal) arrive à se positionner dans le monde agronomique.

Pour cette matière l’étudiant doit connaitre : - l’influence des trois axes de l’agriculture (sol, plants et climat) sur la production végétale, - la plante agricole dont l’étudiant arrive à comprendre des notions de base (assolement rotation, semences et semis, cycle de végétation, associations symbiotiques, ...), - la plante cultivée dans son environnement pour comprendre la conduite d’une culture et les soins culturaux, que vœux dire le rendement et ces composantes, - le travail du sol par l’explication du labour, pseudo-labour et le lit de semis, la période, ..., etc., - La fertilisation dont l’étudiant arrivera à comprendre la notion du bilan de fertilisation, la relation entre le sol et la plante et les exportations en éléments fertilisants, l’estimation des apports, ..., et enfin - La récolte en assimilant le stade de maturité, la cueillette, le stockage, lavage, triage, conditionnement, marché, ..., etc.

Émanation d’un large consensus universitaire, la charte d’éthique et de déontologie réaffirme des principes généraux issus de normes universelles ainsi que de valeurs propres à notre société, et qui doivent être le moteur de la
démarche d’apprentissage et de mise en œuvre de l’éthique et de la déontologie universitaires. Elle doit donc représenter un outil de mobilisation et de référence rappelant les grands principes qui guident la vie universitaire et inspirent les codes de conduite et les règlements qui en découleront.

PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA CHARTE D’ETHIQUE ET DE DEONTOLOGIE UNIVERSITAIRES :
1. L’intégrité et l’honnêteté :
La quête de la probité et de l’honnêteté signifie le refus de la corruption sous toutes ses formes. Cette quête doit commencer par soi avant d’être étendue aux autres. Le développement de l’éthique et de la déontologie doit ainsi refléter des pratiques exemplaires.
2. La liberté académique :
Les activités universitaires d’enseignement et de recherche ne peuvent se concevoir sans la liberté académique qui en est le fondement. Cette dernière garantit, dans le respect d’autrui et en toute conscience professionnelle, l’expression d’opinions critiques sans risque de censure ni contrainte.
3. La responsabilité et la compétence : Les notions de responsabilité et de compétence sont complémentaires. Elles se développent grâce à une gestion démocratique et éthique de l’institution universitaire. Cette dernière
garantit un bon équilibre entre le besoin d’une administration efficace et celui d’encourager la participation des membres de la communauté universitaire en associant l’ensemble des acteurs de l’université au processus de prise de décision. Cependant, les questions scientifiques restent du ressort exclusif des enseignants chercheurs.
4. Le respect mutuel :
Le respect de l’autre se fonde sur le respect de soi. Tous les membres de la communauté universitaire doivent s’interdire toute forme de violence symbolique, physique ou verbale. Ils doivent être traités avec respect et équité et s’engager à se comporter de la même façon, quel que soit le niveau hiérarchique des partenaires.
5. L’exigence de vérité scientifique, d’objectivité et d’esprit critique :
La quête et la possibilité de l’interrogation des savoirs que l’Université transmet et produit ont pour principes fondamentaux la recherche de la vérité scientifique et l’esprit critique. L’exigence de vérité scientifique oblige à la compétence, à l’observation critique
4des faits, à l’expérimentation, à la confrontation des points de vue, à la pertinence des sources et à la rigueur intellectuelle. La recherche scientifique doit être fondée sur la probité académique.
6. L’équité :
L’objectivité et l’impartialité sont les exigences essentielles lors des évaluations, des promotions, des recrutements et des nominations.
7. Le respect des franchises universitaires : Toutes les parties prenantes de la communauté universitaire contribuent, dans tous leurs comportements, au rehaussement des libertés universitaires de telle sorte que soient garanties leur spécificité et leur immunité. Elles s’interdisent de favoriser ou d’encourager les situations et les pratiques qui peuvent porter
atteinte aux principes, aux libertés et aux droits de l’université. Par ailleurs Elles doivent s’abstenir de toute activité politique partisane au sein de tous les espaces universitaires.

Émanation d’un large consensus universitaire, la charte d’éthique et de déontologie réaffirme des principes généraux issus de normes universelles ainsi que de valeurs propres à notre société, et qui doivent être le moteur de la
démarche d’apprentissage et de mise en œuvre de l’éthique et de la déontologie universitaires. Elle doit donc représenter un outil de mobilisation et de référence rappelant les grands principes qui guident la vie universitaire et inspirent les codes de conduite et les règlements qui en découleront.

PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA CHARTE D’ETHIQUE ET DE DEONTOLOGIE UNIVERSITAIRES :
1. L’intégrité et l’honnêteté :
La quête de la probité et de l’honnêteté signifie le refus de la corruption sous toutes ses formes. Cette quête doit commencer par soi avant d’être étendue aux autres. Le développement de l’éthique et de la déontologie doit ainsi refléter des pratiques exemplaires.
2. La liberté académique :
Les activités universitaires d’enseignement et de recherche ne peuvent se concevoir sans la liberté académique qui en est le fondement. Cette dernière garantit, dans le respect d’autrui et en toute conscience professionnelle, l’expression d’opinions critiques sans risque de censure ni contrainte.
3. La responsabilité et la compétence : Les notions de responsabilité et de compétence sont complémentaires. Elles se développent grâce à une gestion démocratique et éthique de l’institution universitaire. Cette dernière
garantit un bon équilibre entre le besoin d’une administration efficace et celui d’encourager la participation des membres de la communauté universitaire en associant l’ensemble des acteurs de l’université au processus de prise de décision. Cependant, les questions scientifiques restent du ressort exclusif des enseignants chercheurs.
4. Le respect mutuel :
Le respect de l’autre se fonde sur le respect de soi. Tous les membres de la communauté universitaire doivent s’interdire toute forme de violence symbolique, physique ou verbale. Ils doivent être traités avec respect et équité et s’engager à se comporter de la même façon, quel que soit le niveau hiérarchique des partenaires.
5. L’exigence de vérité scientifique, d’objectivité et d’esprit critique :
La quête et la possibilité de l’interrogation des savoirs que l’Université transmet et produit ont pour principes fondamentaux la recherche de la vérité scientifique et l’esprit critique. L’exigence de vérité scientifique oblige à la compétence, à l’observation critique
4des faits, à l’expérimentation, à la confrontation des points de vue, à la pertinence des sources et à la rigueur intellectuelle. La recherche scientifique doit être fondée sur la probité académique.
6. L’équité :
L’objectivité et l’impartialité sont les exigences essentielles lors des évaluations, des promotions, des recrutements et des nominations.
7. Le respect des franchises universitaires : Toutes les parties prenantes de la communauté universitaire contribuent, dans tous leurs comportements, au rehaussement des libertés universitaires de telle sorte que soient garanties leur spécificité et leur immunité. Elles s’interdisent de favoriser ou d’encourager les situations et les pratiques qui peuvent porter
atteinte aux principes, aux libertés et aux droits de l’université. Par ailleurs Elles doivent s’abstenir de toute activité politique partisane au sein de tous les espaces universitaires.

Initiation aux définitions de base du système d’exploitation des ressources informatiques. A l’issu de cet enseignement l’étudiant sera capable de concevoir des documents et des tableaux sur Word et Excel.

Cet enseignement a pour objectif de sensibiliser les étudiants aux enjeux, contenus et actions du développement durable. Il s’agit de leur faire prendre conscience qu’il est possible d’agir pour la préservation de l’environnement, à travers leur formation, ainsi qu’à leur échelle, sur leur consommation, leurs activités quotidiennes et leur société. Lors de sa formation universitaire, quelle que soit sa spécialité et son ambition pour ses futures orientations professionnelles, l’étudiant aura l’occasion d’apprendre et d’exprimer sa connaissance sur le développement durable.

Le développement durable est actuellement une des réponses qui émerge dans le monde entier, pour faire face à la conjonction actuelle des grands enjeux écologiques, économiques et sociaux du monde.

le cours, destiné aux étudiants de troisième année "Alimentation, nutrition et pathologie"  , permettra aux étudiants de maitriser des outils mathématiques nécessaires à certaines applications statistiques et informatiques en Biologie

La physiologie animale est un enseignement de base de la compréhension des phénomènes physiologiques intervenant lors de l’alimentation humaine.

a.     Connaissance de la physiologie de la digestion et la nutrition tissulaire et cellulaire et sa position dans l’ensemble des grandes fonctions : rôle et interactions.

b.     Phénomène physiologique au sein des matrices biologiques source des aliments  d’origines animales : Les phénomènes tissulaires et cellulaires au sein des matières premières des aliments d’origine animale (viande, poisson et produits carnés, œuf et ovo-produits).

Cette matière permet à l’étudiant d’acquérir les notions et la terminologie de génétique, la transmission des caractères, la structure de l'ADN, la réplication, la transcription, les altérations et les mécanismes de régulation de l'expression génique.

Zoologie (Zoo : animal ; logos : science)

La zoologie a pour but l’étude des animaux très divers. Elle s’intéresse aux structures par l’étude de l’anatomie, la cytologie et l’histologie. Elle étudie les rapports entre les êtres vivants et leur milieu (écologie).  Elle s’intéresse à la répartition des animaux dans le milieu où ils vivent (biogéographie).  

Elle s’intéresse à déterminer les fonctions propres aux divers Organes (physiologie). Elle s’intéresse à étudier les différents caractères qui nous permettent de différences entre les espèces (systématique). La taxonomie animale est la science qui étudie la classification des différentes espèces animales. Taxonomie se compose de deux mots grecques, Taxo = rangement + nomos = lois, règle. Donc  c’est la science qui s’intéresse à la classification des espèces animales selon des critères bien déterminés.

Il s'agit d'un résumé pour le module "Ecologie Générale" destiné aux étudiants de 2ème Année Sciences Biologiques pour leur faciliter la préparation à l'examen.

C’est l’éude des méanismes qui régissent le fonctionnement et le développement des végétaux. Elle se divise en deux grandes parties :

1- Nutrition et métabolisme : qui se résument par

 _L’acquisition des ééents indispensables àla vie

_ La transformation de ces éléments et leur intégration dans la matière organique (dans la biomasse)

 2-Croissance et développement : Mécanismes pour le passage de la graine de l’éat de vie ralentie àl’éat reproducteur (cycle de déeloppement).

La statistique est une méthode scientifique qui consiste à réunir des données chiffrées sur
des ensembles nombreux, puis à analyser, à commenter et à critiquer ces données. Il ne
faut pas confondre la statistique qui est la science qui vient d'être définie et une statistique
qui est un ensemble de données chiffrées sur un sujet précis.
Les premières statistiques correctement élaborées ont été celles des recensements
démographiques. Ainsi le vocabulaire statistique est essentiellement celui de la
démographie.
Les ensembles étudiés sont appelés population. Les éléments de la population sont appelés
individus ou unités statistiques. La population est étudiée selon un ou plusieurs caractères.

Émanation d’un large consensus universitaire, la charte d’éthique et de déontologie réaffirme des principes généraux issus de normes universelles ainsi que de valeurs propres à notre société, et qui doivent être le moteur de la
démarche d’apprentissage et de mise en œuvre de l’éthique et de la déontologie universitaires. Elle doit donc représenter un outil de mobilisation et de référence rappelant les grands principes qui guident la vie universitaire et inspirent les codes de conduite et les règlements qui en découleront.

PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA CHARTE D’ETHIQUE ET DE DEONTOLOGIE UNIVERSITAIRES :
1. L’intégrité et l’honnêteté :
La quête de la probité et de l’honnêteté signifie le refus de la corruption sous toutes ses formes. Cette quête doit commencer par soi avant d’être étendue aux autres. Le développement de l’éthique et de la déontologie doit ainsi refléter des pratiques exemplaires.
2. La liberté académique :
Les activités universitaires d’enseignement et de recherche ne peuvent se concevoir sans la liberté académique qui en est le fondement. Cette dernière garantit, dans le respect d’autrui et en toute conscience professionnelle, l’expression d’opinions critiques sans risque de censure ni contrainte.
3. La responsabilité et la compétence : Les notions de responsabilité et de compétence sont complémentaires. Elles se développent grâce à une gestion démocratique et éthique de l’institution universitaire. Cette dernière
garantit un bon équilibre entre le besoin d’une administration efficace et celui d’encourager la participation des membres de la communauté universitaire en associant l’ensemble des acteurs de l’université au processus de prise de décision. Cependant, les questions scientifiques restent du ressort exclusif des enseignants chercheurs.
4. Le respect mutuel :
Le respect de l’autre se fonde sur le respect de soi. Tous les membres de la communauté universitaire doivent s’interdire toute forme de violence symbolique, physique ou verbale. Ils doivent être traités avec respect et équité et s’engager à se comporter de la même façon, quel que soit le niveau hiérarchique des partenaires.
5. L’exigence de vérité scientifique, d’objectivité et d’esprit critique :
La quête et la possibilité de l’interrogation des savoirs que l’Université transmet et produit ont pour principes fondamentaux la recherche de la vérité scientifique et l’esprit critique. L’exigence de vérité scientifique oblige à la compétence, à l’observation critique
4des faits, à l’expérimentation, à la confrontation des points de vue, à la pertinence des sources et à la rigueur intellectuelle. La recherche scientifique doit être fondée sur la probité académique.
6. L’équité :
L’objectivité et l’impartialité sont les exigences essentielles lors des évaluations, des promotions, des recrutements et des nominations.
7. Le respect des franchises universitaires : Toutes les parties prenantes de la communauté universitaire contribuent, dans tous leurs comportements, au rehaussement des libertés universitaires de telle sorte que soient garanties leur spécificité et leur immunité. Elles s’interdisent de favoriser ou d’encourager les situations et les pratiques qui peuvent porter
atteinte aux principes, aux libertés et aux droits de l’université. Par ailleurs Elles doivent s’abstenir de toute activité politique partisane au sein de tous les espaces universitaires.

Ce cours de pédologie est une initiation à la science du sol, il permet à l'étudiant de connaitre les constituants et l'organisation du sol ainsi que les principaux sols d’Algérie.

Cet enseignement a pour objectif de sensibiliser les étudiants aux enjeux, contenus et actions du développement durable. Il s’agit de leur faire prendre conscience qu’il est possible d’agir pour la préservation de l’environnement, à travers leur formation, ainsi qu’à leur échelle, sur leur consommation, leurs activités quotidiennes et leur société. Lors de sa formation universitaire, quelle que soit sa spécialité et son ambition pour ses futures orientations professionnelles, l’étudiant aura l’occasion d’apprendre et d’exprimer sa connaissance sur le développement durable.

Le développement durable est actuellement une des réponses qui émerge dans le monde entier, pour faire face à la conjonction actuelle des grands enjeux écologiques, économiques et sociaux du monde.

L’objectif du cours est de faire comprendre aux étudiants la notion d'écosystème, les facteurs abiotiques et biotiques et les interactions entre ces facteurs, les composants de l'écosystème et son fonctionnement

Objectif de l’enseignement
L’objectif de cet enseignement est de faire connaître aux étudiants le rôle de l'immunité,
les systèmes de défense immunitaire, les types de réponse immunitaire et les
dysfonctionnements du système immunitaire.

Cette matière permet aux étudiants d’avoir des notions sur les méthodes appliquées à l’étude du

vivants : méthodes Cytologiques, méthodes d'étude de la composition biochimique et génétique des cellules et

les techniques d’approche aux vivants.

Les cours de microbiologie couvrent un ensemble d’informations d’une ampleur considérable, destinés aux étudiants en 2éme année Sciences biologiques ; ils traitent de l’importance ainsi que de l’étude des microorganismes dans et parmi le monde vivant. Dans un premier lieu, sera aborder la cellule bactérienne (structure, composition …), la nutrition et la croissance bactérienne (les milieux de cultures, les types trophiques ; les agents antimicrobiens…) ; la classification bactérienne et enfin des notions de mycologie et virologie.

L'objectif du module de l'immunologie est de faire connaitre le rôle de l'immunité, le système de défense immunitaire et le type de la réponse immunitaire pour l’éradication des agents pathogènes, et aussi le dysfonctionnement du système immunitaire





C’est une matière indispensable pour les agronomes, il s’agit de la phytotechnie générale là où l’étudiant (future agronome dans le domaine végétal) arrive à se positionner dans le monde agronomique.

Pour cette matière l’étudiant doit connaitre : - l’influence des trois axes de l’agriculture (sol, plants et climat) sur la production végétale, - la plante agricole dont l’étudiant arrive à comprendre des notions de base (assolement rotation, semences et semis, cycle de végétation, associations symbiotiques, ...), - la plante cultivée dans son environnement pour comprendre la conduite d’une culture et les soins culturaux, que vœux dire le rendement et ces composantes, - le travail du sol par l’explication du labour, pseudo-labour et le lit de semis, la période, ..., etc., - La fertilisation dont l’étudiant arrivera à comprendre la notion du bilan de fertilisation, la relation entre le sol et la plante et les exportations en éléments fertilisants, l’estimation des apports, ..., et enfin - La récolte en assimilant le stade de maturité, la cueillette, le stockage, lavage, triage, conditionnement, marché, ..., etc.